L'importance des projets réclame du temps pour la mise en oeuvre, indépendamment même de la conjoncture de leur financement. Si je prends l'exemple de Toulouse, beaucoup des grands investissements d'importance que nous décidons ou avons décidé n'aurons leur plein effet qu'après 2014. Il suffit de regarder le calendrier des chantiers, livraisons ou mises en service. Ce qui ne veut pas dire que le programme n'est pas appliqué. Bien au contraire. Nous avons été élus pour réaliser ces projets et ils sont donc engagés. Ne pas se faire élire sur de la cosmétique, c'est accepter que le temps de l'intérêt général dépasse celui du cycle électoral, telle est la vraie noblesse du politique.
La Dépêche du Midi : Budget 2012, de la rigueur et des ambitions
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