Depuis Mai 2012, mon discours n'a pas varié. Je souhaite ici mettre au regard de cet article et
des assertions avancées, les propos que j'ai pu tenir, de façon constante sur le sujet.
"On discutera des tracés et des variantes pour chaque projet sur la base des études préliminaires
de Tisséo. Il y aura une véritable concertation préalable...On verra l'impact éventuel des tracés sur les
alignements d'arbres, les plans de circulation, à Lardenne où à St Cyprien." (15 mai 2012).
de Tisséo. Il y aura une véritable concertation préalable...On verra l'impact éventuel des tracés sur les
alignements d'arbres, les plans de circulation, à Lardenne où à St Cyprien." (15 mai 2012).
variantes dès la rentrée 2012..." (25 juin 2012).
"Tout est ouvert, on ne cache rien. Le projet par Lardenne et les boulevards a des points durs.
On va discuter de ça, des solutions alternatives. La concertation qui s'ouvre est là pour ça."
"on est dans le temps de la concertation, rien n'est figé." (16 octobre 2012).
Bref, ces trois références pour démontrer le malentendu exploité aujourd'hui. J'ai dit malentendu ?
Je préfère insister sur celui de l'exploitation. L'exploitation d'interrogations légitimes de la part de
riverains en demande d'informations. Les représentants locaux de l'UMP sont venus, hier, signer
l'aveu de l'exploitation politicienne basée sur l'exacerbation des craintes plutôt que la construction
raisonnée de l'intérêt général. Je reste persuadé que l'examen honnête et précis de la méthode
comme du fond permettront d'instaurer les conditions d'un dialogue plus fécond et moins
suspicieux dans sa nature.