L'instant de ce billet d'humeur, je m'écarterai donc des sujets de fond qui intéressent davantage nos concitoyens ainsi que le lecteur de ce blog.
Avec mon ami François Briançon, nous voilà foudroyés en place publique par l'invective animalière. Celle qui disqualifie. Pour le Président de l'UMP, nous serions des "aboyeurs". En matière de respect, si nécessaire au débat souhaité, j'ai connu mieux.
Les mots sont une arme et leur polysémie est parfois bien utile à la perfidie. Sans doute voulait-il parler - la main sur le coeur - de cette fonction occupée jadis par les annonceurs aux coins des rues. Si tel est le cas, cette hypothèse là qui est de convaincre, nous l'assumons.
En la circonstance, je préfère être de ceux qui "aboient" que de ceux qui sont aux abois !
Il y cherche désespérement des amis, comme on like sur facebook.
Il s'en est donc allé à la pêche tel un flamant rose guettant sa garniture.
Vous avez raison. Je concède bien lâchement à la tentation polémiste d'utiliser ainsi son registre animalier.
Aux abois, vous disais-je. Il fait feu de tous bois, tentant de boire à tous les rateliers.
Oyez braves gens combien l'oie dit oui ; flatteuse pour certains, au dépend d'elle même elle les invite à vivre... à trop l'écouter.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire